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Nom : Silver
Prénom : Kazuki
Surnom : Kazu', Kaze (le vent), et tout les autres que vous pourrez lui trouver!
Âge : 16 ans
Classe social (Nobles ou Peuples) : Nobles
Profession (majordomes, servant(e)s ou gouvernantes) : Pensez vous vraiment que j'ai besoin de travailler?
Famille encore en vie (2 lignes minimum) : Sa mère, une femme d'affaire influente quoi que pas très scrupuleux ainsi que le reste de sa fratrie: Deux frères de quelques années ses cadets, une sœur du même âge que lui, une plus jeune et une plus âgée! Le moins qu'on puisse dire c'est que la 'tribu' Silver est nombreuse et qu'elle étend son influence un peu partout. Il y a bien aussi quelques cousins cousines mais Kazuki les trouve inintéressants, pédants et maniérés, inférieurs à lui même en somme...
Lieu de Naissance et dates : en Juin 1994 à Kyoto, au Japon. Le jour exact est inconnu, comme bien d'autres choses le concernant
Descriptions moral (7 lignes minimum) :
Kazu' ne s'embarrasse pas de faux semblants, ni de phrases mielleuses pour dissimuler sa vraie nature. Il se sait être un des plus grand salauds que la terre ait jamais porté et qu'elle portera sans doute jamais et ne s'en formalise pas plus que cela. Il a été élevé dans l'idée que rien ne le surpassait, que ce soit sur le plan de l'intellect, où de la folie. D'ailleurs, sur ce dernier point, on peut dire qu'il y a effectivement peu de monde capable de l'égaler. Cette discipline reste et demeure sa chasse gardée. Quoi que les grand malades et autres fous dangereux aient une place toute particulière dans son estime.
Si une mauvaise langue vous dit en parlant de lui que c'est une crapule insupportable et détestable, ne lui prêtez surtout pas l'oreille! Kazuki est en réalité encore pire que tout ça et de tout ce qu'on pourra en dire. Il ne se conforme en rien à l'idée qu'on se fait d'un noble, tellement ses lubies l'emmènent loin du moule dans lequel on voudrait le voire couler. Il lui vient (trop) souvent des lubies impossibles à expliquer, farfelues le plus souvent quand elles ne sont pas carrément dangereuses. S'il lui vient par exemple le désir aussi stupide que soudain d'escalader les murs du lycée pour aller faire la sieste sur les toits, il sera plutôt compliqué de l'en dissuader. Les argument logiques et rationnels n'ont aucune prise sur cet être au sourire envoutant quasi-permanent. Il ne se passe pas une minute sans qu'il ne sourie, que ce soit d'un air tendre, mauvais, réfrigérant, malsain où sardonique. Effectivement, ces dernier 'modes' ont son entière préférence...
Ne vous fiez pas à cette expression si douce gravée dans ses traits, comme manipulateur, il se pose là! Joueur oui, mais ce sont les cœurs des gens qui l'attirent. Leurs corps aussi, il faut bien le dire. Sa principale faiblesse est de vouloir faire céder sous son emprise n'importe qui portant jupon...où pas! Sa stupide franchise le pousse à dire (après bien sûr) à sa 'proie' que ce n'était qu'un jeu. Ciao-bye... Ses yeux semblent parfois fouiller jusque dans les profondeurs de l'âme de ceux qu'il regarde. Il aime analyser les caractères de gens pour mieux les manœuvrer. Il s'en faut parfois de peu pour qu'il ne sombre dans des crises de rage insensée, souvent pour des idioties, une paroles malheureuse, où même pour rien! Kazuki s'est fixé un objectif: atteindre le Ciel. Dans sa tête, l'idée même n'est pas claire. Aucun plan suicidaire où quoi que soit de ce genre. A défaut de le laisser paraître, Kazu tient quand même à sa peau! Il s'agit juste de courser les nuages. Ses moyens pour y arriver se résument à bien peu, en somme: grimper en haut des arbres où sur le toit ne lui suffit plus. Par contre, 's'envoyer en l'air' lui convient assez... Séducteur, enjôleur mais redoutable avec ses proies. Il a pas mal de points communs avec les chats! À peine si le jeune homme ne ronronne pas quand ile st heureux où s'il ne va pas venir réclamer une grattouille entre les oreilles. En faite, à le voir dormir en vrac dans des endroits totalement improbables, frôler les murs de sa démarche si particulière et féline et perdre brutalement le contrôle, on ne trouverait rien à objecter. Si ce n'est peut être que son ascendance est Noble et non 'chat'. Pas suffisants comme arguments si vous voulez démonter ses idées folles et lui faire retrouver un tant soit peu la raison. «Fou et fier de l'être!». Ça résume parfaitement cette facette là de sa personnalité. Il y en a pas mal d'autres mais je me contenterai d'en exposer deux où trois. Celle ci n'est pas des plus sombre hormis sa tendance prononcer à sauter sur tout ce qui bouge!
Mais n'y comptez pas trop!
Ses réactions sont imprévisibles et s'enchainent sans fil conducteur. Un alignement d'actes insensés, sans fondement ni origine. Et tout ça pour atteindre le Ciel... Une utopie toujours plus proche et si lointaine à la fois. Que faire une fois qu'il y sera? Et c'est quoi le Ciel? Peut être simplement le Bonheur où quelque chose qui y ressemblerait assez. Sa vie actuelle ne lui convient jamais et il faut sans cesse qu'il l'agrémente au gré de ses coups de tête. Si un objet farfelu, luxueux où juste original passe devant son regard acier, il le lui faut absolument dans les plus brefs délais! Inutile de préciser, je pense qu'il en va de même s'il voit une jolie fille où un garçon à son goût. L'intéressé sera peut être dans son lit allez disons dans la soirée à venir. La patience n'est pas à proprement parler une des qualités de Kazuki qui passé cinq minutes à poireauter sans rien faire ni commettre de bêtises passera volontiers par la violence pour faire entendre son ennui. Il n'apprécie pas grand monde et passe le plus clair de son temps à fuir pour se planquer dans des cachettes impossibles et être tranquille. Volontiers rêveur, il passe certains jours entiers à contempler les nuages de son air le plus haineux en leur adressant des doigts d'honneur. Étrange manie. Mais pourquoi eux et pas lui? Je vous le demande... Ses yeux se perdent dans le bleu du ciel, se scotchent aux bancs de navigateurs célestes effilochées. Si ces empaffés moutonneux le peuvent, lui aussi! Kazuki amuse, apitoie les crétins sans imagination, irrite les serviteurs malmenés mais ses épisode de rage lui valent aussi quelques regards craintifs.
Il voue une admiration presque malsaine aux armes blanche qu'il aime regarder sans rien dire, un air de folie pure plaqué sur les lèvres, repoussant au loin toute tentative de communication. C'est peut être pas plus mal de toute manière. Sous doute que toute personne passant trop près se trouverait avec une lame de poignard affutée plaquée sous la gorge. Elle lui paraissent si pures et sans défauts. Ce sont elles qui pourraient parler de sa vision de la perfection. Une lame ne faillit jamais et reste droite, honnête, affutée. Mortelle. Oui. Un katana où une dague sera toujours à ses yeux plus fiable qu'un être humain.
Qui sait... Le jeune Silver n'avait guère plus de limites que celles des nuages et vivait avec l'espoir que sa vie ne serait pas toujours aussi lassante. Qu'il n'aurait pas toujours à provoquer les événements pour qu'elle devienne plus marrante. Des espoirs ainsi, des rêves sans queue ni tête, il lui en passait plein la tête. Assez pour remplir une dizaine de carnets qu'il écrivait quand le temps se fait trop long et que sa course sans fin après les coursiers du ciel devenait fatiguante. Mais la quête continuerait. Et un jour ce serait les nuages qui se démèneraient pour le rattraper.
En parlant de ses passions, (autre que celle pour les armes blanches et autres objets tranchants, le Ciel etc) Kazuki aime beaucoup lire aussi. Lire dans un coin d'une pièce, roulé en boule où perché en haut d'un armoire. Un sac de bonbons à portée de main et une bouteille de saké posée sur un édifice de livres et, plus près, Belle de Nuit et Belle de Mort, ses deux dagues favorites. A portée de main. Prêtes à être lancées si la porte s'ouvre où si l'on vient le déranger. Dans sa chambre, il y a deux choses qui s'entassent pèle mêle. Les livres et les armes. Si l'on échappe à une machette posée au coin d'une étagère, on s'emplâtre sur une pile de bouquins posée en plein milieu du passage. Kazuki n'a aucun sens de l'ordre et place ses affaires suivant sa propres logique (= absence totale de logique!) Donc, en vrac! Mais au moins, il les retrouve! Après que le grand ménage ait été fait, il se tourne dans tous les sens, à la rechercher d'un chemise, de son collier où d'une paire de bottines, disparues dans l'armoire! Quelle drôle d'idée de ranger les vêtements las-dedans, ils prennent atrocement l'humidité!
Si Kazuki est relativement solitaire, antisocial même, il lui arrive de trouver des gens à sou goût. (Non, pas ceux avec qui il s'envoie en l'air! Les VRAIS amis!). Ceux qui ont les même idées tordues, les mêmes rêves, ceux qui ne pensent ni à l'avenir ni au passé, les rêveurs impénitents et alcooliques, les drogués aux chocolat. Sans oublier les fous d'armes en tout genre, lanceurs de couteaux, tireurs d'élite ayant raté leur vocation (où pas!) et les autres! Eh bien, eux ce sont des amis. Dans le fond, son attitude de reclus lui pèse mais il ne trouve jamais personne l'égalant. A part eux. Les vrais amis, les gens sincères à qui il voue une affection sans limites. Quiconque tentera de les blesser de quelque manière que ce soit en subira les conséquences tôt où tard. Ce sera une exécution d'une main de maître, discrète où encore tapageuses. Peut être un simple coup de semonce avant de ne pouvoir revenir en arrière. Envers ses Amis, Kazuki se montre d'une fidélité indéfectible. Jusqu'à la mort, ils auront son amitié, ses sourires si particuliers, parfois sincères envers eux et ces confidences dotn personne d'autre n'aura vent. Jusqu'à la mort il courra pour eux après le Ciel. Ils seront ses ailes et l'aideront à accomplir ce Rêve d'enfant. Ce rêve s'étiolera et deviendra la réalité. Les Nuages seront à lui et à lui seul!
Goûts (3 lignes Minimum) :
Description physique (5 lignes minimum):
Par ce qu'en plus d'être riche à acheter la terre entière, il a l'indécence d'avoir une apparence irréprochable. Ses cheveux blonds clairs en pagaille retombent sur un coté de son visage, masquant ainsi un de ses beaux yeux d'un bleu glacé d'une pureté incroyable. Son visage est d'une finesse extrême peut être un peu trop au goût de certains, sans pour autant échapper à cette expression de détermination farouche et inébranlable. Le reste de son corps et très bien proportionné quoi que d'une minceur presque inquiétante. La teinte de sa peau satinée est assez pâle, ni trop, ni trop peu. Son contact est grisant, hypnotisant. Quand à son regard, il est tantôt bleu glacier, tantôt bleu doux et pénétrant. Il reste quand même cette détestable petit air supérieur de sale gosse gâté qui donnerait presque envie de lui mettre une bonne paire de gifles (à éviter a tout prix!, ce tordu pourrait vous demander en souriant d'un air carrément flippant de recommencer!). Quand il demande quelque chose, il s'efface et devient celui du petit chat malheureux et malaimé qui force sans délais son interlocuteur à accepter, contrait, forcé, mais charmé!.
Sa tenue est toujours impeccable, plutôt classique pas très classe, sans fioritures ni fanfreluche, utilitaire. Beau mais n'entravant jamais sa liberté de mouvement. La plus part du temps, c'est une veste noire passée sur chemise à manche longes blanche avec de fines rayures grises, un pantalon noir et des chaussures de marque. Kazuki à cette démarche féline sans pour autant se départir d'un petit balancement de hanches de temps à autres, révélant une hypothétique ascendance neko. Là où le col de sa chemise révèle sa peau sans défaut, apparaît un tatouage, forme compliqué qui serpente dans son dos et sur le long de ses bras. Pour peu, on aurait envie d'effleurer du doigts les arabesques compliquées et de les remonter d'un geste caressant jusqu'à la base de sa nuque pour redescendre peu à peu sur son torse finement musclé. Le symbole en haut de son dos est difficilement identifiable mais on peut distinguer les contours d'une flamme bleue et rouge. Les couleurs du tatouage varient entre ces deux teintes. Pour finir le tableau, il y a ses mains habiles, fines et dotées de doigts fins faites pour à peut près toute sorte de tâche ( du soin des plantes au maniement de l'épée en passant par la cuisine et, beaucoup d'autres choses encore...) auxquelles il s'adonne rarement -sauf certaines- mais lui tiennent lieu de loisirs. C'est en somme un très bel homme, plein d'arrogance et sans aucune pitié qui peut vous adresser un regard aussi réfrigérant que chaleureux sans sourciller.
Autres : Multiple tatouages – Sourire éternel – Gueule d'ange – Tête à claques.
Histoire (12 lignes minimum) :
Avant le début de la Quète...Kazuki n'a pas toujours couru après le Ciel, loin de là. Il y a même eu une époque où il était un bébé adorable choyé par ses parents, gazouillant joyeusement. Évitez tout de même de le lui faire remarquer...Ce temps est bel et bien révolu. Tout à changé et la donne a été chamboulée. Kazu' n'est plus en enfant où plutôt cette part de lui même, sans avoir disparu a été enfouie au plus profond de lui même. La course contre le Ciel l'a poussée jusqu'à devenir son unique but.
Lui est ses frères et sœurs ont été élevés par leur mère, suite au décès de leur père. Les circonstances de sa mort n'ont pas été élucidées et aucune réponse ne leur fût apportée. A chaque question posée, la femme se renfermait un peu plus. Kazuki s'en fichait. Pourquoi remuer la fourmilière? Ce qui était advenu lui importait peu. Cet homme les avait abandonnés et ne méritait surement pas son intérêt. Néanmoins, l'enfant devenu adolescent s'intéressait à des tas de choses d'importances moindre, posant des colles du genre 'pourquoi les Ciel est bleu?!' quand on l'interrogeait sur son comportement de plus en plus étrange. 13 ans passés depuis son premier souffle et le jeune homme alignait les extravagances. Depuis longtemps, sa famille avait renoncé à le faire revenir dans le 'droit' chemin, veillant tout de même à ce que ses frasques n'éclatent pas en public. L'honneur des Silver avant tout. Une de ses dernières idées était de grimper dans les arbres, cherchant les plus haut pour se rapprocher encore et encore de son objectif fou. Par un heureux état de fait, le parc de la demeure familiale en était peuplé de toutes essences confondues. Grimpé en haut d'un chêne plusieurs fois centenaire, il leva sa tête vers les nuages et éclata d'un rire sans joie. Sa vie telle qu'elle l'était ne lui plaisait pas. On lui disait à longueur de temps ce qu'il devait où ne devait pas faire. Ce qui était bon à savoir, ce qui ne l'était pas. Heureusement qu'il courrait vite et connaissait tous les endroits où se cacher en attendant que les réprimandes ne cessent. Son seul havre de paix était sa chambre aux murs tapissés de bibliothèques. Située dans les étages, la pièce spacieuse n'était accessible que par une enfilade de couloirs tortueux. Tout était fait pour que les visiteurs se perdent. Kazuki accrochait aux murs des épées et des katanas anciens, comme un enfant de son âge y placarderaient fièrement des posters de ses groupes favoris. D'ailleurs, il savait bien s'en servir. Tous ceux qui y entraient pensaient que c'était une décoration un peu glauque dans le style 'salle de torture médiévale', que ça lui passerait vite et que cet espace luxueux ne serait pas entièrement envahi d'armes blanches et de couteaux étincelants. Loin de là...
Kazuki aimait cet endroit comme il était et ne le changerait pour rien au monde. Le plus haut de la demeure avec juste au dessus du balcon, le ciel et un accès direct au toit pour l'admirer dans toute sa splendeur. Voilà donc une partie de l'histoire, celle de la course contre le Ciel et les rêves. De la quête insensée de Kazuki: celle des nuages.
When the sky is deep and so blue!~Et les jours, les semaines, les mois et les années passaient. Kazuki jouait avec ses 'joujoux', et, comme un gosse tout fier qui vient d'apprendre à faire du vélo, il s'améliorait de jours en jours pour lancer ses dagues. A part ça, rien de bien palpitant. Les heures lui semblaient des années tant il s'ennuyait lorsqu'il ne lisait où s'entrainait pas. Personne n'était intéressé par la fréquentation d'un tel énergumène. Les gens des hautes sphères comme ceux que côtoyaient sa famille n'avaient aucune raison de vouloir d'une amitié sincère avec un adolescent qui prenait son pied en balançant des couteaux sur les murs! (quand ce n'était pas sur les gens, enfin, à coté, comme avertissement...). Donc, Kazuki restait seul. Seul avec ses livres et ses katanas en se demandant si a solitude ne pouvait pas tuer plus sûrement qu'une épée fichée dans les tripes, remuée jours après jours au rythme du sablier qui s'écoulait inlassablement. Il n'était pourtant pas de nature à vouloir briller au milieu d'un cercle inutile de pseudos-amis qui auraient trop peur de se casser un ongle en montant aux arbres où pire pour s'occuper des fleurs. Qu'y avait il de dangereux à avoir les mains dans la gadoue? C'était même plutôt rigolo au goût du blond qui s'amusait comme ile le pouvait avec les (grands) moyens du bord. Ses journées se partageaient entre les siestes dans les arbres à regarder défiler les nuages tant jalousés, les longues stations dans un fauteuil où sur une pile de coussins à lire durant des heures et enfin, la contemplation de sa collection grandissante de lames en genres divers et variés.
C'était devenu la routine. Et Kazuki avait tout bonnement horreur de la routine! Il fallait de la nouveauté, quelque chose que seule une tornade pouvait apporter. Et cette tornade approchait. Elle allait bientôt croiser la route du dingue des armes blanches!
Sky Quest, guns & cie!Sa vie était bien réglée. Le jeudi après midi était consacré au 'shopping'. Pas tout à fait comme on l'entend mais pas loin. Activité consistant à se balader dans les centres commerciaux de luxe et à acheter tout ce qui vous fait de l'œil, agrémenté de quelques œillades justement, aux beaux vendeurs et aux jolies vendeuses. Le passage obligé était le suivant: le salon de thé (à condition de prendre de l'alcool et non du jus de chaussette que les initiés nomment 'Thé au jasmin', 'Thé vert' etc) et puis la boutique d'armes. Elle avait d'ailleurs plus des allures de brocantes où de marché aux puces. C'était un échoppe plutôt basse de plafond mais décorée de manière moderne. Les murs étaient la seule chose tracée de manière exacte. Pour le reste, c'était un joyeux fouillis et au client de dénicher son bonheur sans déclencher d'explosion où tirer par erreur dans le plafond en voulant essayer un des articles en vente... Kazuki y avait ses habitudes et savait où se trouvait le rayon qui l'intéressait. Une fois entré, il bifurqua à droite, trébucha sur une mitraillette et failli faire tomber un bac entier de grenades à fragmentation, un vrai danger public! Une fois rétabli, le jeune homme se releva avec précaution et rasa le mur (celui auquel il n'y avait aucune épées d'un autre temps accrochées!) pour arriver vers les katanas. Trop heureux d'être arrivé indemne à destination.
Il fît son choix avec un soin tout particulier et demanda à une vendeuse particulièrement poton-poton de faire livrer la marchandise au luxueux manoir familial avant le sur-lendemain. Le tout accompagné d'un sourire ravageur (colgate styyle SBAFF) avant de tourner les talons pour chercher de quoi compléter le duo 'Belle-de-jour/Belle-de-Mort', à savoir, une dague digne de ce nom. Kazuki passa devant le rayon 'grenades' et son pied buta sur quelque chose qui était tombé au sol. Craignant que ce soit une grenade, il effectua un léger pas de coté. C'était en faite un casque militaire. Cherchant où le reposer, il se trouva nez à nez avec une jeune fille brune, d'une kawaïtude époustouflante et avec un petit air enfantin qui ne collait pour ainsi dire pas du tout avec l'ambiance du lieu. Représentez vous le blondinet en train de la reluquer de la tête au pied en lui tendant ce qui semblait lui appartenir.
«Tenez mademoiselle, je crois que ceci vous appartient!»
Il lui fît un charmant sourire et l'invita à prendre un verre histoire de discuter de l'efficacité (indiscutable u.u) des haches à doubles tranchant et des lances grenades.
Voilà. La rencontre avec la tempête qui change tout. Le début de la quête et la course contre le ciel!
Eh, dis, si tu vois un nuage en forme d'Ak-47, fais un vœu !
Telle était, à peu de choses près la teneur des discutions entre la charmante Jeen et Kazuki, qui étaient devenu amis au fil des jour. La seule et unique amie qu'il ait jamais eue! La routine était enfin écartelée et les deux compères, malgré le regard critique de son abrutie de mère, ils s'entendaient au mieux! Kazuki avait rajouté à son planning de la journée la section 'Faire le plus de bêtises et de gamineries avec Jeen' qui, au fil du temps empiétait un peu plus sur les autres. Restait le Ciel qu'il continuait de fixer pendant des ères durant. S'il avait renoncé à quelques petites choses du fait des journées non-extensibles, le lancer de couteaux gardait une place non négligeable dans son existence. Les quelques éclats causés par els frasques du fils étaient étouffées dans l'œuf et, plus que jamais, il avait l'impression de n'avoir d'autres limites que celles du Ciel. La liberté dans toute sa splendeur, sans entraves! A croire que tout ce qu'il ferait serait traité de la même manière. Avec mépris mais sans plus. Naïf qu'il était. Une de ses 'bêtises' justement, allait lui démontrer le contraire.
Une explosion.
Un domaine voisin rasé dans sa quasi totalité.
Quelque chose dans ce genre...
Je passerais sous silence la partie de tennis de table avec des explosifs en guise de ba-balle...
Voilà ce qui causa la chute brusque et douloureuse de Kazuki. «Une bagatelle» commenta-il par la suite, approuvé par Jeen. Un long débat d'une journée entière débuta pour décider du sort du mouton noir de la famille. Le mettre à la porte aurait fait jaser les colères. Rembourser les dégats était facile mais où était le châtiment? Et si pour le faire sortir de sa bulle dérivante ils l'envoyaient en pénitence faire ses classes dans un Lycée un peu particulier? En voilà une idée qu'elle était bonne! Privé de son perchoir dans la tour du manoir, de ses repaires et bien évidement, de ses livres! La tête haute, Kazuki sortit de la pièce, l'air hargneux. Puis il rentra de nouveau dans a salle et poussa une gueulante dantesque, inconnue jusque là dans les anales familiales. Sans précédent, sans imitation. Une de celles qui ne s'oublient qu'au bout de longues années. Et il sortit. Satisfait. Il avait obtenu d'emporter toute ses affaires et d'être accompagné de Jeen. Souriant, victorieux il passa devant elle et lui dit au passage:
"Alors, tu te grouilles? quoi t'as pas tes valises encore? on part dans moins d'une heure! hého! l'avion et le Ciel ne vont pas attendre plus longtemps! pourquoi tu fais cette tête? tu croyais vraiment que j'allais te laisser sur le carreau?" Avant de monter dans sa chambre en quatrième vitesse pour emballer ses affaires.
Dans la voiture qui les menait tous deux à l'aéroport, il se rendit compte qu'il ne connaissait toujours pas son prénom véritable
«Dis j'ai une question...»
«Huum? Quoi?!»«Tu t'appelles comment en vrai?!»Elle ignora la question et fît semblant de s'endormir. Son sourire la trahissait. Kazuki la regarda encore quelques minutes puis s'abima dans la contemplation du Ciel par la lucarne du toit-ouvrant...
Surnom : Lyn
Âge : 16 ans
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